Bonjour,

Dans ma région, un club moyen se saurait pas offrir un confort acceptable à ses membres s'il ne devait compter que sur les subsides et les sponsors.
Si on prend mon club pour centre, il existe 13 ou 14 clubs affiliés à la fédération et plusieurs autres non fédérés dans un rayon de quinze kilomètres.
Les clubs doivent donc se partager les sponsors disponibles, souvent à un échelon local.
Une grosse partie du budget consacré aux interclubs, soit environ 15.000 €(inscriptions,tenues, déplacements, primes aux joueurs, repas, etc.), est financée par nos sponsors et les subventions des pouvoirs publics).
Les autres frais de fonctionnement (chauffage, électricité, entretien,...) sont à ajouter.
Le budget total nécessaire au bon fonctionnement du club est d'environ le double de l'argent généré par le sponsoring et les subsides des PP.
Le reste doit fatalement être financé par la buvette.

Le club organise quelques événements chaque année (soupers, fête du club, Noël, Saint Valentin,...).
Là encore, l'essentiel des bénéfices est généré par.....la buvette.

Si on interdisait la vente d'alcool, ce serait la mort de la plupart des clubs s'il veulent continuer à offrir de bonnes conditions de jeu à leurs membres.

Claude.

totalement faux
mais la plus grande majorité des dirigeants de club de pétanque
ont choisis la facilité
faute de bénévoles
organisez des lotos,pokers,repas dansant etc
démarchez des sponsors,mettez la pression sur vos élus afin que votre subvention ne soit pas une simple offrande
en résumez bouger vous le cul et n attendez pas que tout soit fait par vos dirigeants de club

Tout à fait d'accord avec toi, David75. Ça fait très longtemps que je le dis, il faut penser aux petits clubs qui on que la buvette pour vivre.

L arret de la vente de boisson alcoolisée à la buvette pour les petits clubs c la mise en bière assuré pour ceux ci.et je dis pas ça pour me faire mousser.
.

Bonjour,

La réputation des bières belges n'est plus à faire :).
La bière la plus consommée en Belgique, est de type "Pils" (Jupiler, Stella, Maes,...) et sa teneur en alcool (autour de 5,6°) est légèrement supérieure à celle des ses homologues françaises (Kronenbourg, etc.).

Lorsque je disais que l'ingestion d'une douzaine de bières ne modifiait pas le comportement de manière significative, je parlais de manière générale.

Il s'agissait d'une moyenne de ce qu'un joueur consomme généralement sur un après-midi.

A côté de cela, j'en connais qui donnent des signes d'ébriété après avoir bu quatre ou cinq bières et d'autres qui en tiennent vingt sans aucun problème.

Le plus important, c'est que chacun reste conscient des ses limites et évite de les dépasser.

Claude.

bourqui
tu crois que le mec qui bois 12 bières
est dans un état normal ?
a moins que la bière en BELGIQUE soit de la pissette