Citation :
absolutebg a écrit :
En clair, nous sommes nombreux dans mon club à avoir d'ores et déjà fait le choix de ne pas prendre de licence en 2021 mais de faire don du montant de la licence à notre club.
Bien sûr, nous restons en bonne entente avec ceux et celles qui prendront leur licence. Mais ils sont minoritaires...
Citation :
absolutebg a écrit :
Aussi, pourquoi affirmez que mon propos ne représente pas ce qui va se passer pour la majorité des licenciés 2020 dans mon club ? Nous ne prendrons pas de licence et ferons une donation à notre club à la place.
Qu’est-ce qui vous permet de déduire que je serai le seul à faire cela ?
En fait, il m’apparaît surtout que votre objectif est de chercher à rassurer et à ne pas froisser la FFPJP, autant que vous le pouvez.
Citation :
petanque a écrit :
absolutebg, tu es sûr qu'on t'écoute dans ton club ?
Je ne cherche pas du tout à être écouté. J'ai abandonné la fonction de dirigeant. Mais, j'observe et analyse.
Alors, voici quelques précisions :
Dans ma ligue (vérification faites avec les comités via Geslico), 99% à 100% des joueurs classés "élite" ont repris leur licence en 2021, selon le département. 77% à 96% des joueurs classés "honneur" ontrepris leur licence en 2021, selon le département.
Pour mémoire, 1/3 des licenciés en France jouent plus de 5 compétitions par an, 1/3 des licenciés en France jouent entre 1 et 5 compétitions, 1/3 d'entre eux ne jouent jamais en compétition.
Ce n'est donc pas l'absence de concours qui explique l'énorme différence entre les licences prises (à la même date) entre 2021 et 2020.
En effet, les compétiteurs ont repris leur licence.
Ce sont les autres licenciés qui pour l'instant ne l'ont pas reprise.
Mais pas d'inquiétude, la FFPJP n'a pas grand chose à craindre d'une baisse conjoncturelle des licences en 2021.
Une gestion financière de crise sans dépense exceptionnelle lui permettra de passer le cap.
Ce ne serait pas la même chanson si cette situation perdurait après 2021, par contre !
Alors, tous les licenciés 2020 vont-ils la reprendre dès que les instances poltiques (les prefets et les maires en fait) permettront de revenir dans les clubs house pour jouer aux cartes et boire l'apéro ?
Ou bien, s'agit-il de la matérialisation d'un rejet de la politique fédérale qui entrainerait la pratique vers une voie qui n'intéresse pas la majorité des licenciés ?
Le débat est là ?
L'avenir le dira.